article précédent : A Hard Day's Night
τὸν οὖν Σωκράτη ἀκούσαντα πάλιν τε κελεῦσαι τὴν πρώτην ὑπόθεσιν τοῦ πρώτου λόγου ἀναγνῶναι, καὶ ἀναγνωσθείσης, πῶς, φάναι, ὦ Ζήνων, τοῦτο λέγεις; εἰ πολλά ἐστι τὰ ὄντα, ὡς ἄρα δεῖ αὐτὰ ὅμοιά τε εἶναι καὶ ἀνόμοια, τοῦτο δὲ δὴ ἀδύνατον: οὔτε γὰρ τὰ ἀνόμοια ὅμοια οὔτε τὰ ὅμοια ἀνόμοια οἷόν τε εἶναι; οὐχ οὕτω λέγεις;
Platon, Parménide
Socrate ayant écouté jusqu'à la fin, invita Zénon à relire la première proposition du premier livre. Cela fait, il reprit : Comment entends-tu ceci, Zénon : si les êtres sont multiples, il faut qu'ils soient à la fois semblables et dissemblables entre eux ? Or, cela est impossible ; car ce qui est dissemblable ne peut être semblable, ni ce qui est semblable être dissemblable. N'est-ce pas là ce que tu entends ?
(traduction de Victor Cousin)
(C'est immédiatement à la suite de ce dialogue que Zénon, ulcéré, soulèvera Socrate à bout de bras par sa tunique et le secouera violemment, et que Socrate lui assènera en retour, ivre de rage, le magistral coup de pied dans les ὄρχειs qui faisait sa renommée.
Quand on aura finalement pu séparer les deux vieux poivrots qui, à bout de souffle, ne tarissaient cependant pas d'invectives, on raconte que les gens du coin, qui appréciaient vraiment Socrate et Zénon car ils les faisaient souvent beaucoup rire, leur dirent, en se tenant les côtes : “mais vous voyez bien, pourtant, que vous êtes dissemblables dans vos idées et votre raisonnement, mais qu'en même temps vous êtes semblables dans votre comportement, en vous pochtronant ensemble et en vous battant comme des chiffonniers”).
Monty Python -The Philosophers' Football Match (1982)
L'image n'est vraiment pas terrible, mais les sous-titres sont en français
Bonjour à tous !
Dimanche dernier, nous avions entamé l’étude de cette racine proto-indo-européenne que l’on pourrait traduire par “dur, ferme” :
*kar-1.
Nous l’avions déjà retrouvée, par exemple, dans l’anglais hard, ou le français hardi.
C’est elle, aussi, qui forme le -ard de Léonard, ou de Richard.
J’ai ici une révélation à vous faire.
Je l’annonce ouvertement, officiellement, avant que Dan Brown ne s’en empare pour un prochain livre.
Grâce à un lecteur du blog qui se reconnaîtra, j’ai décrypté l’énigme fondamentale du Prisonnier.
Reprenons la plaque d’immatriculation de la Lotus Seven du Prisonnier :
Nous avons déjà compris que la première partie de la plaque, KAR1 faisait subtilement référence à notre racine *kar-1, et donc à Saint Léonard, le saint patron des prisonniers.
Mais voici : quant à la deuxième partie, 20C, vous devez commencer par lire vingt.
Ensuite, et selon la prononciation anglaise, vous lirez “C” “SI”.
- Oui mais non! C’est pas vingt, c’est twenty.
- Ah mais voilà, le Village où est enfermé le Prisonnier, c’est Portmeirion, dans le nord du … Pays de Galles ! Galles - Gaule : la localisation même du Village nous renvoie au… français.
Et donc, nous avons là, sous nos yeux, “Léonard (de) Vinci”.
Il est évident que Patrick McGoohan faisait partie du Prieuré de Sion, qu’il était plus que probablement un des Illuminati, et que la série n’a pour but que d’indiquer, sous le voile des symboles, que le trésor des Templiers a bien été retrouvé et déposé par la NASA sur la Lune - d’où le décollage de cette fusée à la fin de la série.
Ce trésor, c'est d’ailleurs la seule raison pour laquelle les Américains sont allés sur la Lune.
Les Lémuriens ne sont jamais très loin ni des Olmèques, ni des Atlantes…
Et ne parlons pas des Reptiliens.
Mais là, j’en ai peut-être un peu trop dit.
Si vous n'avez plus de nouvelles de moi dimanche prochain, vous aurez compris.
Je crois que le blog serait plus vendeur si j’y mettais ce genre de c*nneries, non ?
En attendant, allez visiter Portmeirion, c’est vraiment très beau.
Et passez par les Cotswolds en vous y rendant, ou au retour, c'est un conseil…
Allez, on poursuit.
Oh, vous connaissez certainement l’origine du mot renard.
C’est Le Roman de Renart…
C’est elle, aussi, qui forme le -ard de Léonard, ou de Richard.
J’ai ici une révélation à vous faire.
Je l’annonce ouvertement, officiellement, avant que Dan Brown ne s’en empare pour un prochain livre.
Grâce à un lecteur du blog qui se reconnaîtra, j’ai décrypté l’énigme fondamentale du Prisonnier.
Reprenons la plaque d’immatriculation de la Lotus Seven du Prisonnier :
Nous avons déjà compris que la première partie de la plaque, KAR1 faisait subtilement référence à notre racine *kar-1, et donc à Saint Léonard, le saint patron des prisonniers.
Mais voici : quant à la deuxième partie, 20C, vous devez commencer par lire vingt.
Ensuite, et selon la prononciation anglaise, vous lirez “C” “SI”.
- Oui mais non! C’est pas vingt, c’est twenty.
- Ah mais voilà, le Village où est enfermé le Prisonnier, c’est Portmeirion, dans le nord du … Pays de Galles ! Galles - Gaule : la localisation même du Village nous renvoie au… français.
Et donc, nous avons là, sous nos yeux, “Léonard (de) Vinci”.
Il est évident que Patrick McGoohan faisait partie du Prieuré de Sion, qu’il était plus que probablement un des Illuminati, et que la série n’a pour but que d’indiquer, sous le voile des symboles, que le trésor des Templiers a bien été retrouvé et déposé par la NASA sur la Lune - d’où le décollage de cette fusée à la fin de la série.
Ce trésor, c'est d’ailleurs la seule raison pour laquelle les Américains sont allés sur la Lune.
Enfin, ils n’y sont pas allés vraiment, bien sûr, mais ils y ont largué le trésor depuis le LEM (Lunar Excursion Module), qui ne s'y est évidemment jamais posé.LEM comme Lémurien, si vous voyez ce que je veux dire…
Les Lémuriens ne sont jamais très loin ni des Olmèques, ni des Atlantes…
Et ne parlons pas des Reptiliens.
Tout est là |
Mais là, j’en ai peut-être un peu trop dit.
Si vous n'avez plus de nouvelles de moi dimanche prochain, vous aurez compris.
Je crois que le blog serait plus vendeur si j’y mettais ce genre de c*nneries, non ?
En attendant, allez visiter Portmeirion, c’est vraiment très beau.
Et passez par les Cotswolds en vous y rendant, ou au retour, c'est un conseil…
Portmeirion |
Be seeing you! |
Allez, on poursuit.
Oh, vous connaissez certainement l’origine du mot renard.
C’est Le Roman de Renart…
- ensemble médiéval de récits animaliers écrits en ancien français et en vers, dont les premiers dateraient de la fin du XIIème -,…où le personnage principal était un goupil du nom de Renart, qui a rendu si populaire ce nom propre.
Le Roman de Renart |
Goupil étant à l'époque - je ne vous l'apprends pas - le nom...
Renart était en fait la transposition d'un vieux nom propre germanique, Reginhart,
Ce renard est donc,
On suppose que l’emploi de “renard” pour “goupil” serait également lié à un tabou :
Et les prénoms ou patronymes Reinhard / Reinhardt / Reinhart sont toujours courants dans le monde germanique.
Je vous disais dimanche dernier que l’on retrouve notre racine *kar-1 en grec, et même en sanskrit…
Allons donc nous faire voir chez les (anciens) Grecs :
Selon Watkins, *kar-1 / *ker- aurait eu une forme (suffixée) au degré plein, *kret-es-.
Sur cette ancienne forme aurait été construite ultérieurement une forme de timbre zéro: *kr̥t-es-.
Vous voyez où je veux en venir ?
Mais oui : au grec ancien κράτος, krátos, “pouvoir, force, puissance, domination…”.
Qu’en ionien on appelait κάρτος, kártos, ou encore κρέτος, krétos en éolien.
C’est de κράτος que dérive notre suffixe -cratie bien connu, sans qui le français ne connaîtrait pas démocratie, bureaucratie, christocratie
Sur κράτος, krátos s’est aussi construit le nom Σωκράτης, Sôkrátês.
Oui, Socrate.
Composé de σῶς, sỗs (“sauf”, dans le sens de “non-entamé”, “intact”…) et κράτος, krátos (“force”).
Socrate incarnerait ainsi, selon son prénom, du moins, la force intacte.
Cette forme *kr̥t-es proto-indo-européenne a donné quelques cognats au grec κράτος, krátos, comme
Mais…
Comme je vous le disais un peu plus haut, ça, c’est la version de Watkins, qui lie donc, derrière une racine unique, mais avec des formes variantes (notamment *kar- / *ker-, *kret-es-), le germanique *hardu et ces dérivés que je viens de vous présenter, en grec, sanskrit et avestique.
Je dois quand même vous avouer que cette métathèse *ker- / *kre pose bien des soucis, qui poussent même certains à rejeter le lien étymologique entre le germanique *hardu et ces derniers dérivés.
Carrément.
Certes, ce renversement de -re en -er est irrégulier, et ne s'explique pas vraiment, mais de là à rejeter la parenté entre ces mots, c’est peut-être aller un peu vite en besogne.
Ce qui est sûr, c’est que nous en resterons là avec notre jolie petite *kar-1.
Sachez malgré tout que d’autres mots ont été épinglés comme dérivés possibles de cette charmante *kar-1, mais qu’il vaut mieux les prendre avec les précautions d'usage…
Perso, je m'en méfierais fortement…
Citons ainsi notre français carène,...
…emprunt, par le latin médiéval carena, à l’ancien génois carena.
Ce carena ligure était lui-même la transposition du latin carina, “coquille de noix”.
- Mais ? Le carina latin serait, lui, apparenté au grec κάρυον, káryon, désignant aussi la coquille de noix ?
- Ben oui, absolument, et le grec ancien κάρυον, káryon figure lui aussi sur cette liste de dérivés possibles.
Pour tout vous dire, cette liste est composée de mots dont le sens évoquerait une coquille dure.
Comme le latin cancer, littéralement le crabe, dérivé du grec ancien καρκίνος, karkínos, de même sens.
On pensait ce καρκίνος dériver d’une forme redupliquée de *kar-1, *kar-kr-o-, mais à présent, on lui attribuerait plutôt une origine non-indo-européenne, en le faisant provenir du fameux substrat pré-grec, donc d’une des langues parlées dans la région AVANT la diffusion des langues indo-européennes.
Les Grecs anciens appelaient eux-mêmes “Pélasges” (en grec ancien Πελασγοί, Pelasgoí) les premiers habitants de ce qui deviendrait (notamment) la Grèce.
Ces Pélasges parlaient une langue (ou plutôt un ensemble de langues) que l’on a appelée avec un certain bon sens le pélasgique. Le voilà, l'essentiel du substrat pré-grec.
Peut-être ce pélasgique aurait-il une origine anatolienne ? Cela pourrait alors le rapprocher des langues indo-européennes. Mais vraiment, rien n’est moins sûr.
Je vous souhaite un excellent dimanche, et une très très belle semaine.
Frédéric
Attention, ne vous laissez pas abuser par son nom: on peut lire le dimanche indo-européen CHAQUE JOUR de la semaine !
(Mais de toute façon, avec le dimanche indo-européen, c’est TOUS LES JOURS dimanche…).
on ne peut plus commun (mais alors, commun de chez commun)…par lequel on désignait ce canidé du genre Vulpes, que nous appelons désormais…
- pour ceux qui lisent plus lentement -…renard.
Goupil, soit dit en passant, provenait du latin vulpes, “renard”, que l'on fait remonter à une racine proto-indo-européenne wl̥p-ē-, “renard”.
Renart était en fait la transposition d'un vieux nom propre germanique, Reginhart,
composé de ragin, “conseil (reçu des dieux)”, et hart, évidemment, “fort…”,évolution du proto-germanique de même sens *Raginaharduz (*raginą - *harduz).
Ce renard est donc,
pour dire les choses comme elles sont,une antonomase, au même titre que “le macadam”, “un bordeaux”, “un don juan” ou “une poubelle”, procédé consistant à employer un nom propre pour signifier un nom commun.
On suppose que l’emploi de “renard” pour “goupil” serait également lié à un tabou :
“Ne prononçons pas le mot goupil, ça risquerait de faire venir l’animal, qui nous mangerait nos poules”.C’est en tout cas un phénomène de ce type qui a fait que l’ours est souvent devenu “le brun” (bear en anglais, dérivé de la proto-indo-européenne *bher-, “brun”), ou même, et c’est plus sympa, “celui qui mange le miel” en russe (медведь, “midvéd’).
Mais oui oh ! Relisez Björn et Ursula, même combat., enfin !?
Et les prénoms ou patronymes Reinhard / Reinhardt / Reinhart sont toujours courants dans le monde germanique.
Installation de Adolph Dietrich Friedrich Reinhardt (“Ad Reinhardt”), 1913 - 1967, précurseur de l'art conceptuel et de l'art minimal. |
Je vous disais dimanche dernier que l’on retrouve notre racine *kar-1 en grec, et même en sanskrit…
Allons donc nous faire voir chez les (anciens) Grecs :
Selon Watkins, *kar-1 / *ker- aurait eu une forme (suffixée) au degré plein, *kret-es-.
Sur cette ancienne forme aurait été construite ultérieurement une forme de timbre zéro: *kr̥t-es-.
Vous voyez où je veux en venir ?
Mais oui : au grec ancien κράτος, krátos, “pouvoir, force, puissance, domination…”.
Qu’en ionien on appelait κάρτος, kártos, ou encore κρέτος, krétos en éolien.
(L'éolien était en fait très proche de l'ionien, il fallait simplement le prononcer en agitant fortement les bras pour faire du vent.)
C’est de κράτος que dérive notre suffixe -cratie bien connu, sans qui le français ne connaîtrait pas démocratie, bureaucratie, christocratie
(si si, ça existe : régime ou corps social dans lequel le pouvoir se réclame de l’autorité suprême de Jésus Christ),gérontocratie, inaptocratie, particratie, ploutocratie (le pouvoir aux riches), technocratie, et ainsi de suite.
Sur κράτος, krátos s’est aussi construit le nom Σωκράτης, Sôkrátês.
Oui, Socrate.
Composé de σῶς, sỗs (“sauf”, dans le sens de “non-entamé”, “intact”…) et κράτος, krátos (“force”).
Socrate incarnerait ainsi, selon son prénom, du moins, la force intacte.
Cette forme *kr̥t-es proto-indo-européenne a donné quelques cognats au grec κράτος, krátos, comme
- le sanskrit क्रतु, krátu, “puissance (de la pensée)”, ou
- l’avestique xratu-, de même sens: “pouvoir (de l’esprit)”.
Mais…
Comme je vous le disais un peu plus haut, ça, c’est la version de Watkins, qui lie donc, derrière une racine unique, mais avec des formes variantes (notamment *kar- / *ker-, *kret-es-), le germanique *hardu et ces dérivés que je viens de vous présenter, en grec, sanskrit et avestique.
Je dois quand même vous avouer que cette métathèse *ker- / *kre pose bien des soucis, qui poussent même certains à rejeter le lien étymologique entre le germanique *hardu et ces derniers dérivés.
Carrément.
Certes, ce renversement de -re en -er est irrégulier, et ne s'explique pas vraiment, mais de là à rejeter la parenté entre ces mots, c’est peut-être aller un peu vite en besogne.
C’est du moins mon sentiment, strictement personnel, qui vaut ce qu’il vaut.
Maintenant, comme d’habitude, c’est vous qui voyez.
Ce qui est sûr, c’est que nous en resterons là avec notre jolie petite *kar-1.
Sachez malgré tout que d’autres mots ont été épinglés comme dérivés possibles de cette charmante *kar-1, mais qu’il vaut mieux les prendre avec les précautions d'usage…
Perso, je m'en méfierais fortement…
Citons ainsi notre français carène,...
- non, je ne parle pas ici de la prononciation carolorégienne du joli prénom Carine -,
(Marine) Partie d’un navire, ensemble des lignes longitudinales et transversales qui forment le dessin de la coque dans sa partie immergée (la quille et les flancs du navire jusqu’à la ligne de flottaison).
…emprunt, par le latin médiéval carena, à l’ancien génois carena.
Ce carena ligure était lui-même la transposition du latin carina, “coquille de noix”.
- Mais ? Le carina latin serait, lui, apparenté au grec κάρυον, káryon, désignant aussi la coquille de noix ?
- Ben oui, absolument, et le grec ancien κάρυον, káryon figure lui aussi sur cette liste de dérivés possibles.
Pour tout vous dire, cette liste est composée de mots dont le sens évoquerait une coquille dure.
Comme le latin cancer, littéralement le crabe, dérivé du grec ancien καρκίνος, karkínos, de même sens.
On pensait ce καρκίνος dériver d’une forme redupliquée de *kar-1, *kar-kr-o-, mais à présent, on lui attribuerait plutôt une origine non-indo-européenne, en le faisant provenir du fameux substrat pré-grec, donc d’une des langues parlées dans la région AVANT la diffusion des langues indo-européennes.
Les Grecs anciens appelaient eux-mêmes “Pélasges” (en grec ancien Πελασγοί, Pelasgoí) les premiers habitants de ce qui deviendrait (notamment) la Grèce.
Ces Pélasges parlaient une langue (ou plutôt un ensemble de langues) que l’on a appelée avec un certain bon sens le pélasgique. Le voilà, l'essentiel du substrat pré-grec.
Peut-être ce pélasgique aurait-il une origine anatolienne ? Cela pourrait alors le rapprocher des langues indo-européennes. Mais vraiment, rien n’est moins sûr.
Je vous souhaite un excellent dimanche, et une très très belle semaine.
Frédéric
Attention, ne vous laissez pas abuser par son nom: on peut lire le dimanche indo-européen CHAQUE JOUR de la semaine !
(Mais de toute façon, avec le dimanche indo-européen, c’est TOUS LES JOURS dimanche…).
Pour nous quitter, un peu de musique vocale de Johann Sebastian Bach :
le Recitativo e chorale de la cantate BWV 18 “Gleichwie der Regen und Schnee vom Himmel fällt”, “Comme la pluie et la neige descendent des cieux”.
La remarquable Fondation J. S. Bach (située à Trogen, en Suisse), que vous entendez ici,
s'est fixé comme ambition de chanter l'intégralité de l'oeuvre vocale de Bach,
et ce sur environ 25 ans.
article suivant : un fauteuil pour (*steh) deux
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