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Bonjour à toutes et tous !
Il y a quelque temps, une amie particulièrement espiègle avait affiché une photo sur Facebook.
Sur cette photo, des objets insolites, curieux.
Qui ressemblaient à des pierres délicatement polies.
À des galets joliment arrondis.
Mais bien sûr, ces objets n'avaient rien de vulgaires galets. Vraiment pas.
Et mon espiègle amie demandait tout naturellement à la cantonade ce que pouvaient être ces objets qu'elle avait photographiés.
Pourquoi je vous parle de ça?
Vous vous en doutez bien: il y a de l'indo-européen là-dessous...
J'ai en réalité une très mauvaise mémoire.
C'est simple: il m'arrive parfois de relire avidement d'anciens articles du blog, pour m'esbaudir - voire m'esclaffer - devant leur contenu.
Oui, j'en suis là. Parfois, je m'inquiète.
En toute franchise, je lui répondis que non.
Pour me revenir quelques minutes plus tard, hilare.
Et, blême, livide, consterné, incrédule, je ne pouvais que constater que c'était mon nom qui figurait dessus.
Oui, j'avais participé à ce projet.
Mieux que ça: j'étais l'auteur du document que mon collègue narquois - lui aussi particulièrement espiègle - me présentait.
J'avais totalement oblitéré, et le projet, et le document, de ma mémoire.
Je suis comme ça.
Bref.
Mais reprenons le fil.
Ma réponse à l'espiègle devinette photographique, ici, curieusement, m'a été soufflée par un vieil article du blog. Qui date du 5 février 2012 !
Pour une fois, oui, ma mémoire, en temps normal si déplorablement inutile, ne m'a pas lâché.
Je me rappelais vaguement avoir entrevu ce type d'objets lors de recherches pour le dimanche indo-européen.
Je ne me souvenais plus (du tout) de quelle(s) racine(s) le nom de l'objet provenait
Je pensais en fait l'avoir traité, ce mot, mais non, il n'en était rien.
- Ah bon ?
- Ben oui.
Il m'a fallu du temps, mais je sais à présent pourquoi
Quoi qu'il en soit, voici donc ..
Quant à la racine indo-européenne que je traitais à l'époque ?
Mais, avant d'aller plus avant...
Vous, dites-moi, vous, vous avez trouvé de quoi il s'agit?
- Huuh ?
Allez, je vous laisse encore quelques instants...
...
...
...
Il s'agit de ... bézoards.
- Des bézoards???
Bézoard:
Oui, le bézoard est une concrétion pierreuse, un corps étranger que l'on trouve le plus souvent dans l'estomac des ruminants...
Jadis appelé “pierre de fiel” ou “perle d'estomac”, on lui prêtait des vertus curatives.
C'était surtout pour son action d'antidote aux poisons qu'il était réputé.
Ne confondons pas...
Nous devons ce mot à une drôle de série d'emprunts...
Nous avons emprunté le mot au XVème, sous la forme bezaar, et via le latin médiéval, à l'arabe bāzahr
Mais ce n'est pas fini...
Il a fallu attendre la moitié du XVIème pour que nous adoptions la forme bezoar
Ouf.
Faisons déjà le point...
Ouais...
Des déformations à la pelle, cet emploi de la terminaison -ard malvenu, infondé, injustifiable...
Comme vous, j'y verrais bien les basses oeuvres de la famille Ucon...
Bon, maintenant, passons aux choses sérieuses, et intéressons-nous à ce vieux perse pādzahr...
Il s'agit en réalité d'un composé.
Et là, surprise ...
Les deux racines indo-européennes à l'origine des deux parties formant ce composé, nous les avons déjà traitées.
Mais, honte sur moi, je n'avais jamais mentionné pādzahr au nombre des dérivés ni de la première, ni de la deuxième...
La première partie du mot, pʾt (/pād/), provient de la racine *pā-, “protéger, nourrir”, traitée ici:
La deuxième partie du mot, zhl (/zahr/), provient quant à elle de la racine indo-européenne *gʷhen-, “pourfendre...”.
C'est précisément par un étymon proto-iranien que l'on reconstruit sous la forme *zarH- que l'indo-européenne *gʷhen- aurait donné le vieux perse zhl.
Pour l'anecdote, c'est d'ailleurs de cette forme *zarH- que serait issu le khotanais ysurra-, “colère”.
À l'époque de Autobahn, guns et pourfendeurs de dragons, c'était de cette jolie indo-européenne *gʷhen- que je faisais descendre l'allemand bahn, par exemple, ou l'anglais fence...
Mais à l'occasion de cette replongée dans le sujet, force m'est de constater que ce lien est bien ténu...
En effet, même si certains établissent ce lien
Mais donc, si vous m'avez bien suivi, ces doutes n'assombrissent que les formes germaniques dérivées (peut-être) de *gʷhen-, “pourfendre...”.
Celles-là dont je parlais dans Une bonne pâte, ce satrape., qui ne seraient peut-être
Ce qui signifie aussi
Mais reprenons...
Il est intéressant de constater que le vieux perse pour bézoard
Curieux, non ? C'est donc par son emploi d'antidote qu'on connaissait l'objet, qu'on le définissait, plus que par son origine, sa nature intrinsèque...
Ce qui nous amène à penser que si le pādzahr était si grandement apprécié, c'est que chez les anciens Perses, l'emploi du poison devait être particulièrement fréquent...
Quelques dérivés du vieux perse pʾtzhl, /pādzahr/, peut-être?
Mais oui !
À côté de notre français bézoard, de l'espagnol et de l'anglais bezoar, citons encore...
Allez, on en restera là pour ce dimanche.
Chers amis, j'ai pris ce qu'on appelle un méchant refroidissement ; je tousse, j'utilise des dizaines de mouchoirs en papier... Là, j'en peux plus !
Une ch'tite récap', en deux parties plus une recomposition, et on se quitte fissa.
Sur cette photo, des objets insolites, curieux.
Qui ressemblaient à des pierres délicatement polies.
À des galets joliment arrondis.
Mais bien sûr, ces objets n'avaient rien de vulgaires galets. Vraiment pas.
vulgaires galets (source) |
Et mon espiègle amie demandait tout naturellement à la cantonade ce que pouvaient être ces objets qu'elle avait photographiés.
Avec un resto à la clef pour celui qui résoudrait l'énigme ; il faut tout dire.
Et je vous dis tout, et tout de suite ; c'est moi qui ai gagné l'invitation au resto. (Et toc.)
Comme mon amie est une lectrice fidèle du blog, elle saura - s'il d'aventure elle en doutait - que je n'ai pas (encore) oublié, et qu'il faudra se trouver, dans nos agendas bien remplis, un moment pour aller manger ensemble.
Pourquoi je vous parle de ça?
Vous vous en doutez bien: il y a de l'indo-européen là-dessous...
J'ai en réalité une très mauvaise mémoire.
C'est simple: il m'arrive parfois de relire avidement d'anciens articles du blog, pour m'esbaudir - voire m'esclaffer - devant leur contenu.
Oui, j'en suis là. Parfois, je m'inquiète.
Le côté positif, c'est qu'ainsi, j'apprends tous les jours, et qu'en outre j'apprécie mon sens de l'humour...Autre exemple, tiré de la vie “réelle”, professionnelle: dans un emploi précédent, un excellent collègue me demandait si j'avais connaissance d'un projet trucmuche.
En toute franchise, je lui répondis que non.
- Jamais vu, jamais entendu. Mais j'ajoutai - sait-on jamais: “tu peux peut-être chercher dans ce dossier, avec tel ou tel mot-clef...”.Ce qu'il fit.
Pour me revenir quelques minutes plus tard, hilare.
- J'ai trouvé le document relatif au projet. Tiens, Fred, regarde.
Et, blême, livide, consterné, incrédule, je ne pouvais que constater que c'était mon nom qui figurait dessus.
Oui, j'avais participé à ce projet.
Mieux que ça: j'étais l'auteur du document que mon collègue narquois - lui aussi particulièrement espiègle - me présentait.
J'avais totalement oblitéré, et le projet, et le document, de ma mémoire.
Je suis comme ça.
Bref.
Mais reprenons le fil.
Ma réponse à l'espiègle devinette photographique, ici, curieusement, m'a été soufflée par un vieil article du blog. Qui date du 5 février 2012 !
Pour une fois, oui, ma mémoire, en temps normal si déplorablement inutile, ne m'a pas lâché.
Je me rappelais vaguement avoir entrevu ce type d'objets lors de recherches pour le dimanche indo-européen.
Je ne me souvenais plus (du tout) de quelle(s) racine(s) le nom de l'objet provenait
- ah ben oui, n'exagérons rien, quand même -,mais au moins, je me rappelais de son nom, de sa définition, et de sa langue d'origine: le perse.
Je pensais en fait l'avoir traité, ce mot, mais non, il n'en était rien.
- Ah bon ?
- Ben oui.
Il m'a fallu du temps, mais je sais à présent pourquoi
- après avoir finalement retrouvé le fil de mes idées et de mes recherches d'il y a bientôt sept ans -j'avais dû le mettre de côté: tout simplement parce qu'à l'époque, j'avais des doutes sur son étymologie...
Les choses ont changé... Aujourd'hui, je ne doute plus de l'étymologie indo-européenne de ce mot, mais bien de celle des dérivés dont je traitais alors... J'y reviendrai.
les temps changent... |
Quoi qu'il en soit, voici donc ..
- une photo de ces objets...
et...
- l'article où j'eus pu mentionner leur nom - et forcément son étymologie:
Autobahn, guns et pourfendeurs de dragons
Article que je vous conseille vivement de lire avant de poursuivre, hein...
Quant à la racine indo-européenne que je traitais à l'époque ?
*gʷhen-, “tuer, abîmer...: pourfendre...”.
Mais, avant d'aller plus avant...
Vous, dites-moi, vous, vous avez trouvé de quoi il s'agit?
- Huuh ?
Allez, je vous laisse encore quelques instants...
...
...
...
Il s'agit de ... bézoards.
- Des bézoards???
Bézoard:
- Concrétion calculeuse faite de poils ou de divers débris végétaux se formant dans le corps de certains animaux (ruminants) et parfois de l'homme (psychopathes avalant des matières non digestibles).
- Préparation pharmaceutique qui était autrefois considérée (notamment en Orient) comme un puissant antidote aux poisons et aux maladies infectieuses. Bézoard oriental. Bézoard animal, minéral, végétal.
Oh, merci, merci, Le Grand Robert de la langue française©.
Oui, le bézoard est une concrétion pierreuse, un corps étranger que l'on trouve le plus souvent dans l'estomac des ruminants...
Jadis appelé “pierre de fiel” ou “perle d'estomac”, on lui prêtait des vertus curatives.
C'était surtout pour son action d'antidote aux poisons qu'il était réputé.
Ne confondons pas...
B zoar et... |
K zoar |
Nous devons ce mot à une drôle de série d'emprunts...
Nous avons emprunté le mot au XVème, sous la forme bezaar, et via le latin médiéval, à l'arabe bāzahr
(non, ne cherchez pas, rien à voir avec bazar, le marché),lui-même emprunté au vieux perse pādzahr, “ce qui préserve du poison”.
Mais ce n'est pas fini...
Il a fallu attendre la moitié du XVIème pour que nous adoptions la forme bezoar
- qui s'écrira bezoard , avec un superbe -d final, fin du XVIème, sous l'influence ridicule, saugrenue et néfaste du suffixe -ard - ;forme bezoar calquée sur le latin médiéval bezoar, lui-même emprunté à l'arabe bezuwār, ce dernier n'étant que la forme maghrébine de l'arabe classique bāzahr.
Ouf.
Faisons déjà le point...
vieux perse pādzahr, “ce qui préserve du poison”
⇓
emprunt
⇓
arabe bāzahr
⇓
emprunt
⇓
arabe bāzahr
⇓
emprunt
⇓
latin médiéval bezaar
⇓
emprunt (calque) du XVème
⇓
français bezaar
⇓
déformation
⇓
français bezoar,
déformation s'expliquant par:
influence du suffixe -ard
⇓
bezoard, fin XVIème
⇓
forme moderne bézoard
emprunt
⇓
latin médiéval bezaar
⇓
emprunt (calque) du XVème
⇓
français bezaar
⇓
déformation
⇓
français bezoar,
déformation s'expliquant par:
[arabe bāzahr ⇒ déformation ⇒ maghrébin bezuwār ⇒ emprunt ⇒ latin médiéval bezoar ⇒ calque de la mi-XVIème ⇒ français bezoar]
⇓influence du suffixe -ard
⇓
bezoard, fin XVIème
⇓
forme moderne bézoard
Ouais...
Des déformations à la pelle, cet emploi de la terminaison -ard malvenu, infondé, injustifiable...
Comme vous, j'y verrais bien les basses oeuvres de la famille Ucon...
- maisje ? Fernand Ucon, à la famille de qui les incohérences du français doivent beaucoup (relisez ceci). |
Bon, maintenant, passons aux choses sérieuses, et intéressons-nous à ce vieux perse pādzahr...
Il s'agit en réalité d'un composé.
pʾt (prononcez “pād”) + zhl (à prononcer “zahr”).
Et là, surprise ...
Les deux racines indo-européennes à l'origine des deux parties formant ce composé, nous les avons déjà traitées.
Mais, honte sur moi, je n'avais jamais mentionné pādzahr au nombre des dérivés ni de la première, ni de la deuxième...
La première partie du mot, pʾt (/pād/), provient de la racine *pā-, “protéger, nourrir”, traitée ici:
Une bonne pâte, ce satrape.,et descend précisément de *pā- par l'étymon proto-iranien *pah-, à qui on attribue le sens de “protéger, garder”, et spécialement “garder au pré, mettre en pâture”.
Je vous invite à lire ou relire l'article en question... Je ne blague pas.
La deuxième partie du mot, zhl (/zahr/), provient quant à elle de la racine indo-européenne *gʷhen-, “pourfendre...”.
C'est précisément par un étymon proto-iranien que l'on reconstruit sous la forme *zarH- que l'indo-européenne *gʷhen- aurait donné le vieux perse zhl.
Pour l'anecdote, c'est d'ailleurs de cette forme *zarH- que serait issu le khotanais ysurra-, “colère”.
- Le khotanais ? Vous avez bien dit khotanais ?
- Mais oui, oh ! Une langue moyenne iranienne parlée par lesSapas ouSakas, au VIIème siècle, dans les royaumes de ... Khotan (ben voyons, comme par hasard), de Kashgar et de Tumushuke - je n'invente RIEN -, dans le bassin du Tarim, au sud de l'actuel Xinjiang.
À l'époque de Autobahn, guns et pourfendeurs de dragons, c'était de cette jolie indo-européenne *gʷhen- que je faisais descendre l'allemand bahn, par exemple, ou l'anglais fence...
Mais à l'occasion de cette replongée dans le sujet, force m'est de constater que ce lien est bien ténu...
En effet, même si certains établissent ce lien
- certains et pas des moindres... Je pense notamment à Pokorny, à Watkins ou au lexicologue allemand Elmar Seebold -,pour d'autres
- c'est le cas de l'Américain Thomas L. Markey, professeur de langue allemande et de linguistique, dans la roue duquel Guus Kroonen n'hésite pas à sauter -,même si sémantiquement la question ne se pose pas, il paraît peu probable qu'en l'espèce, ce *b germanique puisse dériver d'un *gʷh indo-européen...
Mais donc, si vous m'avez bien suivi, ces doutes n'assombrissent que les formes germaniques dérivées (peut-être) de *gʷhen-, “pourfendre...”.
Celles-là dont je parlais dans Une bonne pâte, ce satrape., qui ne seraient peut-être
- le doute subsiste malgré tout -issues que d'une racine germanique s'apparentant sémantiquement et formellement avec l'indo-européenne *gʷhen-, mais n'entretenant avec elle aucun lien filial...
Ce qui signifie aussi
- il est important de le noter -que rien de tout ceci ne devrait vous faire remettre en question la filiation entre la racine indo-européenne *gʷhen- et notre perse zhl.
Mais reprenons...
Il est intéressant de constater que le vieux perse pour bézoard
(pʾtzhl, /pādzahr/, pour les ramollis du bulbe en général ou descendants de la famille Ucon en particulier)signifiait littéralement anti-poison: “ce qui préserve du poison”, “ce qui protège du poison”, composé de pʾt, “qui protège”, et zhl, “poison” (“ce qui tue”).
Curieux, non ? C'est donc par son emploi d'antidote qu'on connaissait l'objet, qu'on le définissait, plus que par son origine, sa nature intrinsèque...
Ce qui nous amène à penser que si le pādzahr était si grandement apprécié, c'est que chez les anciens Perses, l'emploi du poison devait être particulièrement fréquent...
Quelques dérivés du vieux perse pʾtzhl, /pādzahr/, peut-être?
Mais oui !
À côté de notre français bézoard, de l'espagnol et de l'anglais bezoar, citons encore...
- le persan پادزهر, /pâdzahr/, پازهر, /pâzahr/,
- l'ourdou پادزہر, /pādzahr/, پازہر, /pāzahr/,
- le turc ottoman ادزهر, /pâdzehr/,
- le turc panzehir, et évidemment
- l'arabe بادزهر, /bādzahr, bādizahr/, بازهر, /bāzahr/, فادزهر, /fādzahr/,
Allez, on en restera là pour ce dimanche.
Chers amis, j'ai pris ce qu'on appelle un méchant refroidissement ; je tousse, j'utilise des dizaines de mouchoirs en papier... Là, j'en peux plus !
Une ch'tite récap', en deux parties plus une recomposition, et on se quitte fissa.
racine indo-européenne *pā-, “protéger, nourrir”
⇓
étymon proto-iranien *pah-, “protéger, garder”, spécialement “garder au pré, mettre en pâture”
⇓
vieux perse pʾt, /pād/, “qui protège”
---
racine indo-européenne *gʷhen-, “pourfendre...”
⇓
étymon proto-iranien *zarH-, “ce qui tue, poison”
⇓
vieux perse zhl, /zahr/, “ce qui tue, poison”
---
composé vieux perse pʾt, /pād/, “qui protège” + zhl, /zahr/, “ce qui tue, poison”
⇓
vieux perse pʾtzhl, /pādzahr/, “bézoar, antidote”
Je vous souhaite, à toutes et tous, un beau dimanche, une belle semaine...
(ici, 'fait moche, mais bon, c'est plus que normal)
À dimanche prochain !
Frédéric
PS: dans ces articles, les passages de texte en bleu, vous l'aurez compris, traitent d'éléments de linguistique.
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Attention,
ne vous laissez pas abuser par son nom:
on peut lire le dimanche indo-européen
CHAQUE JOUR de la semaine.
(Mais de toute façon,
avec le dimanche indo-européen,
c’est TOUS LES JOURS dimanche…).
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Et pour nous quitter,
RIEN à voir - si ce n'est que ce morceau et cette interprétation sont d'excellents antipoisons à la morosité ambiante...
Hélène Grimaud nous joue...
Les jeux d'eaux à la Villa d'Este, de Franz Liszt.
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