- Paraît chaque dimanche à 8 heures tapantes, méridien de Paris -

dimanche 26 janvier 2020

le mécano lançait l'hélice du vieux coucou à la paluche





Les roues puissantes écrasent les cales.

Battue par le vent de l’hélice, l’herbe jusqu’à vingt mètres en arrière semble couler. Le pilote, d’un mouvement de son poignet, déchaîne ou retient l’orage.

Le bruit s’enfle maintenant dans les reprises répétées jusqu’à devenir un milieu dense, presque solide, où le corps se trouve enfermé. Quand le pilote le sent combler en lui tout ce qu’il y a d’inassouvi, il pense : « C’est bien » puis, du revers des doigts, frôle la carlingue : rien ne vibre. Il jouit de cette énergie si condensée.

Il se penche : « Adieu mes amis… » Pour cet adieu dans l’aube ils traînent des ombres immenses. Mais au seuil de ce bond de plus de trois mille kilomètres, le pilote est déjà loin d’eux… Il regarde le capot noir appuyé sur le ciel, à contre-jour, en obusier. Derrière l’hélice un paysage de gaze tremble.


Les toutes premières lignes de l'Aviateur, 1926

Antoine de Saint-Exupéry


Antoine de Saint-Exupéry,
1900 - 1944

















“Aon aon, aon aon”


Aviateur, 1988 

Véronique Jannot




(je me moque, mais j'adooore)


“Aon aon, aon aon”, aaaaah...











(oui bon,  d'accord, par quelqu'un d'autre que Véronique Jannot,
je n'aurais peut-être pas la même magnanimité)




Bonjour à toutes et tous !





*pehǵ-“attacher”.




Ah ça, on lui doit quelques beaux mots, à notre adorable *pehǵ-...
  • les anglais fang“croc”, peg, “patère...” et travel“voyage”,
  • l'allemand Fuge, “jointure”, et puis, ben voyons, 
  • nos français pactepaix, pays, (la) page , païen, paysage, propager, provinpropagande, pieu, pal, travail, travelling, balise, palissade et palonnier !
Allez, on relit, et fissa, encore :
troïka, sitar et trèfle 
Guerre et Paix. Et saucisse 
retour au pays 
C'était il y a très, très, très longtemps ...,
j'l'aime bien, mais ch'peux plus l'voir en peinture,
peut-on considérer les années 20 comme de la propagande pro-vin,
pālus et pāla sont en bateau..., et enfin,
À Lisbonne, on munissait les Latécoère de l'Aéropostale de balises en carton .


*pehǵ-ī-se,
forme suffixée de timbre plein de *pehǵ-,
au sens - reconstruit - de “jeune fille attachante...






La semaine dernière, avec quelques beaux dérivés du latin pālus, “pieu, poteau en bois, piquet, cheville..., nous... avions... décollé. 
(je sais, c'est facile)



Aujourd'hui, nous resterons en l'air,




avec les dérivés français de... pālabêche, pelle...”.


(Je vous rappelle quand même que ces deux inséparables pālus et pāla proviennent, par l'italique *pag-slo-, pelle, poteau ..., de *pehǵ-slos-“pelle, poteau ..., instrumental d'un substantif indo-européen créé sur notre divine *pehǵ-“attacher”.)

******

*pehǵ-“attacher
substantif indo-européen à l'instrumental *pehǵ-slos-“pelle, poteau...
étymon proto-italique *pag-slo-, pelle, poteau...
latins pālus, “pieu, poteau en bois, piquet, cheville...” et pālabêche, pelle...

******





Alors, les dérivés français de pāla !


Redescendons quelques instants sur le plancher des vaches
- oh, à peine le temps d'un touch-and-go (en français de France, apparemment, un posé-décollé) -,



un F16 effectuant un touch-and-go


avec notre... pelle.

C'est par la forme attestée pele, au XIème, 
puis pelle, au XIIIème, 
que notre moderne pelle remonte au latin pāla
Pāla, proprement, ce qu'on enfonce”. 

Ici, par exemple, dans le sol..., le plancher des vaches.


ben oui, une pelle, désolé



D'une hélice d'avion, nous pourrions dire qu'elle est bipaletripale..., en fonction du nombre, évidemment, de ses... pales.

les pales de l'hélice d'un SUPERBE Supermarine Spitfire Mk. IX
(Savez-vous que le Spitfire fut tout d'abord équipé d'un propulseur à 2, puis 3, et même 5 pales, pour passer enfin à un groupe propulseur contrarotatif ?)

(Et NON,
n'y pensez même pas,
le groupe contrarotatif ne lui permettait pas de voler plus vite en marche arrière)

le groupe propulseur contrarotatif du Spitfire
(source)

Et donc...

Pale !

Le mot, attesté aux alentours de 1360 ou 1370, est probablement une variante d'origine dialectale, soit du provençal pale, soit d'un parler de l'Ouest, désignant, dans tous les cas, et sans trop de surprise... la pelle.
C'est du moins ce que Alain Rey nous en dit.
c'est toujours une pelle, 'faudra vous y faire

Ce pale n'était qu'une variante de pele, forme ancienne de pelle dont nous venons de parler quelques lignes plus tôt.

Ah mais... bon sang mais c'est bien sûr, voilà pourquoi il nous bassinait avec sa bête pelle avant de parler de pale !!!
- Monsieur Ucon, mais quel plaisir ; vous êtes de retour, donc ? 

Fernand Ucon, pour ceux qui ont la chance de
ne pas le connaître

Le mot qui, en un premier temps
- et pendant longtemps -,
désignait la rame d'un bateau, 

en est venu, début du XVIIIème, à ne plus faire référence qu'à la partie de la rame qui agit sur l'eau.





C'est ainsi, qu'au milieu du XIXème, il s'appliquera tout naturellement à la petite planchette que vous trouvez à l'extrémité d'une roue à aubes.




Enfin, avec les débuts de l'aviation, en 1913-1914, une nouvelle acception sera ajoutée à la définition du mot :
Élément (d'une hélice) en forme de section hélicoïdale, qui est entraîné par le moyeu et agit sur l'air.




Quant au diminutif de palepalette,
attesté peu après pale, en 1375,
il désignera bon nombre d'objets, mais ayant toujours en commun une forme mince, plate et allongée.

C'est ainsi que palette, début du XVIIème, désignera
- oh, merci, merci, ©Le Grand Robert de la langue française -
la...
plaque mince de bois dur, de faïence ou de métal émaillé, carrée ou ovale, échancrée et percée d'un trou pour qu'on puisse y passer le pouce, et sur laquelle le peintre étend et mélange ses couleurs.
Michiel van Musscher, "Le Peintre dans son atelier avec ses dessins" 

palette de peinture d'occasion


C'est de ce sens très concret qu'est née, et attestée en 1733, cette acception de palette, comme étant...
... l'ensemble des couleurs dont se sert habituellement un peintre.

De là, nouvelle extrapolation du sens, pour donner, en 1773,...
... l'ensemble des moyens techniques dont dispose un artiste (un écrivain, un musicien…). 

Et enfin, par généralisation,...
... ensemble de possibilités expressives.




Mais ! Le gentil palette a désigné aussi
- c'est vrai qu'elle a généralement une forme mince, plate et allongée -
la main !

ben ouais.
la main qui tient la pelle


Dans l'argot des soldats de 1940, le mot se transforma en... paluche !

On l'employait dans l'expression faire lever les paluches, faisant allusion au tristement célèbre salut hitlérien.


salut hitlérien merveilleusement parodié par Charlie Chaplin



Quant à l'expression se palucher, elle dit bien ce qu'elle veut dire, non ?
“S'octroyer du plaisir... avec la main”.





Éventuellement après, en désespoir de cause, 
auprès de l'être tant désiré,
s'être pris une pelle ?


ce en quoi Jean-Claude Dusse excelle, qui ne conclura pas encore ce soir


Cette expression se prendre - ou ramasser - une pelle, pour “faire une chute assez rude”, attestée en 1889, fait peut-être allusion à la position penchée du pelleteur ?








Bon, ben voilà.
Nous pouvons atterrir sans heurts, nous en avons terminé ici avec la livraison de ce dimanche !







Chères lectrices, chers lecteurs, chers non-binaires,


Je vous souhaite un excellent dimanche, une très belle semaine.


À... dimanche prochain ? 
(Oui oui, nous serons toujours en compagnie de la délicieuse, de l'attachante, *pehǵ-“attacher”...)







Frédéric



















******************************************
Attention,
ne vous laissez pas abuser par son nom :
on peut lire le dimanche indo-européen
CHAQUE JOUR de la semaine.
(Mais de toute façon,
avec le dimanche indo-européen,
c’est TOUS LES JOURS dimanche…)
******************************************

Et pour nous quitter,


Sing me a song of a lad that is gone
Say could that lad be I?
Merry of soul he sailed on a day
Over the sea to Skye

Mull was astern
Rum to the port
Eigg on the starboard brow;
Glory of youth, glowed in his soul;
Where is that glory now?

Speed, bonnie boat, like a bird on the wing,
Onward! the sailors cry;
Carry the lad that's born to be King

Over the sea to Skye.


The McCalmans,
dans une des plus belles interprétations que je connaisse de 

The Skye Boat Song, 

chanson écossaise écrite à la fin du XIXème,

racontant la traversée en bateau que Flora MacDonald fit faire à

Charles Edward Stuart

- Bonnie Prince Charlie -,

de l'île de Benbecula (Beinn na Faoghla, Hébrides extérieures) jusqu'à l'île de Skye,


ben ouais, 'y avait pas encore d'aéroport...

pour le mettre à l'abri des troupes gouvernementales,
lors de la débâcle succédant à la Bataille de Culloden, en 1746.


“Vogue vite, mon beau bateau, comme un oiseau qui vole
C'est de circonstance, non ?

Et puis, aussi, hier soir, 25 janvier - et hum, ce matin aussi, l'Écosse était à l'honneur, puisque l'on y célébrait, ainsi qu'aux quatre coins du monde, la naissance de Robert Burns...


Robert Burns, poète écossais
(j'en ai déjà abondamment parlé: Robert Burns)
25 janvier 1759 – 21 juillet 1796




******************************************

Vous voulez être sûrs (sûrs, mais vraiment sûrs) de lire chaque article du dimanche indo-européen dès sa parution ? Hein, Hein ? Vous pouvez par exemple...
  • vous abonner par mail, en cliquant ici, en tapant votre adresse email et en cliquant sur “souscrire”. ET EN CONFIRMANT le lien qui vous arrivera par mail dans les 5 secs, et vraisemblablement parmi vos SPAMS (“indésirables”), ou
  • liker la page Facebook du dimanche indo-européen: https://www.facebook.com/indoeuropeen/

******************************************

article suivant : une indigestion de dérivés

dimanche 19 janvier 2020

À Lisbonne, on munissait les Latécoère de l'Aéropostale de balises en carton


article précédent: pālus et pāla sont en bateau...




Malgré tous les ennuis de notre monde, je n'ai jamais abandonné dans mon coeur l'amour dans lequel j'étais élevé ou l'espoir de l'homme dans l'amour. Dans la vie, comme sur la palette de l'artiste, il n'y a qu'une seule couleur qui donne un sens à la vie et à l'art - la couleur de l'amour.

Marc Chagall


le Paradis, Marc Chagall, 1961





















Bonjour à toutes et tous !






*pehǵ-“attacher”.


Oui, c'est toujours à découvrir les dérivés de cette adorable racine indo-européenne que nous nous attellerons aujourd'hui.
Nous savons déjà que nous lui devons (entre autres) :
  • les anglais fang“croc”, peg, “patère...” et travel“voyage”,
  • l'allemand Fuge, “jointure”, et
  • nos français pactepaix, pays, page (celle du livre), païen, paysage, propager, provin et propagande, pieu, pal, ainsi que travail, et travelling.




(Il est encore temps de relire les articles que nous lui avons consacrés ; je dis ça ...  :
troïka, sitar et trèfle 
Guerre et Paix. Et saucisse 
retour au pays 
C'était il y a très, très, très longtemps ...,
j'l'aime bien, mais ch'peux plus l'voir en peinture,
peut-on considérer les années 20 comme de la propagande pro-vin,
et
pālus et pāla sont en bateau....)


La semaine dernière, rappelez-vous, 


nous avions vu que deux mots latins très proches étaient issus de notre jolie *pehǵ-

  • pālus, “pieu, poteau en bois, piquet, cheville ...” et 
  • pālabêche, pelle...”.




*pehǵ-“attacher
substantif indo-européen à l'instrumental *pehǵ-slos-“pelle, poteau ...
étymon proto-italique *pag-slo-, pelle, poteau ...
latins pālus, “pieu, poteau en bois, piquet, cheville ...” et pālabêche, pelle...



D'empalement en travail, nous devons en convenir, les dérivés de pālus ne mettent pas nécessairement d'humeur guillerette ...  





En voici pourtant un qui est parfaitement inoffensif...

Si je vous dis que ce mot peut désigner un ...
... mur de verdure formé d'une rangée d'arbres ou d'arbustes spécialement taillés (1673),
ou encore une ...
... barrière, clôture faite d'une rangée de pieux, de perches ou de planches (1636).


De quoi s'agit-il, mmmmh ? 

Ben oui !
- Et ce n'est pas ©Le Grand Robert de la langue française, 
dont le site est par ailleurs toujours complètement dans le cirage, 
qui me détrompera -,
de ... palissade.




Il existe, attesté en 1155, un mot ancien et technique qui désignait un ensemble de pieux fichés dans le sol à des fins défensives, ou encore un enclos de pieux

Ce mot, c'était palis (d'abord paliz, et parfois repris sous la forme palisse).



 Au bas, le long du sentier, régnait un rustique palis, perdu dans une haie d'aubépine et de ronce.

Balzac, les Paysans



palis en schiste


Il dérivait vraisemblablement de l'ancien français pel, dont nous parlions la semaine dernière, cette ancienne forme de pieu

On aurait accolé, vers 1600, le suffixe -ade à ce beau palis, pour en faire notre palissade.
Notez quand même que palissade peut aussi n'être qu'un emprunt, ici à l'ancien provençal palissadaclôture de palis, lui aussi, vous l'aurez deviné, dérivé de pālus.



[Je peux déjà vous le dire, nous allons bientôt nous sentir beaucoup plus légersNos pieds vont se libérer de l'attraction terrestre, nous allons ... nous envoler !]
(source)




les admirables Guillaumet et Saint-Ex devant un de ces magnifiques
Latécoère 28



Sur l'ancien français pal
“pieu, se créa le diminutif palon, désignant une sorte de pelle en bois, une spatule...





En moyen français (au XIVème), sur palon, rebelotte, on créa un nouveau diminutif, en -el cette fois: palonnel, qui deviendra au XVIIème palonneau, puis ... palonnier.


Que nous dira donc © Le Grand Robert de la langue française de palonnier ?
Barre transversale placée à l'avant d'un véhicule ou d'un instrument de culture à traction animale, et aux extrémités de laquelle on fixe les traits.
La Chute d'Icare, Pieter Brueghel l'Ancien.
Oui d'accord, Icare s'était envolé, mais voyez plutôt la charrue du
laboureur, équipée d'un palonnier



Et pour les amoureux de l'aviation, dont je suis :
Dispositif de commande du gouvernail de direction (d'un avion) constitué par une barre articulée sur un pivot et manœuvrée aux pieds.

le palonnier, qui influe sur ...

... l'axe de lacet (mais oui, d'où cette photo en haut de l'article !),
en ...




... agissant sur la gouverne de direction







Et puis, terminons ce chapitre pālus avec un mot qui ne lui ressemble pas vraiment...


Palissade, c'était facile ! 

Ce dernier dérivé de pālus est, me semble-t-il, un peu plus difficile à trouver...

Si je vous dis ... dispositif de navigation ?

Oui ?

...

...

Non ?

...

...

OUI !!


Balise.



Ce mot est plein d'histoire...

Nous l'avons emprunté, fin du XVème, au ... portugais !

Au portugais baliza, attesté, lui, début XVème, qui désignait notamment - et qui désigne toujours - un espace délimité
(par des pieux, par exemple ?),
ou spécialement, en navigation, un moyen de marquage,
comme des perches élevées au-dessus de l'eau, pouvant être surmontées d'un voyant,
une bouée, permettant de délimiter une route, en signalant les endroits dangereux.




Ce baliza portugais dérivait lui-même de pālus par le bas latin tardif *palitium, *palitia, au sens de palisssade”, mais ... en passant par un intermédiaire mozarabe, ce qui explique pourquoi le \p\ initial s'est ainsi transformé en \b\.
La preuve ? On dit mozarabe, et pas mozarape.
Mozarabe ? (En espagnol mozárabe ou romance andalusí), l'ensemble des dialectes romans parlés par les êtres inférieurs (oh, les chrétiens et juifs sous domination arabe) dans les royaumes musulmans d'Al-Andalus, entre le VIIIème siècle et le XVème siècle.

Le mot s'employait dans le port de Lisbonne, où ce type de repérage était particulièrement crucial. 


je vous défie de trouver une illustration de l'ancien port de Lisbonne sur
autre chose que des azulejos


De Lisbonne, il est passé en Espagne et en France.

Et le sens de balise a évolué, pour, dans une de ses acceptions modernes, désigner un radioémetteur


la célèbre balise Argos


Enfin, par analogie, le terme s'applique à présent à un dispositif de navigation guidant les avions...




C'est une belle histoire, ça, non ?


Ah, les histoires portugaises ! Je me rappelle, la larme à l'oeil, l'autobiographie de Linda de Suza, racontant son parcours tumultueux, La balise valise en carton. 



J'espère sincèrement, avec ces jolis palissade, palonnier et balise, vous avoir fait oublier les supplices de la semaine dernière.









Eh, oh !

Non mais, vous vous rendez compte ?

Vous auriez fait, vous, le lien entre les anglais fang“croc”, peg, “patère” et tous ces mots français pacte, page (celle du livre), païen, paysage, propager, provin, propagande, pieu, pal, travail, travelling, palissade, balise et palonnier  ??

Hein, hein ?


Merci qui ?

Mais oui, l'indo-européen, pardi !


Chères lectrices, chers lecteurs, 

Je vous souhaite un excellent dimanche, un très belle semaine.

À ... dimanche prochain ? Toujours en compagnie de la formidable *pehǵ-“attacher” ...







Frédéric



******************************************
Attention,
ne vous laissez pas abuser par son nom :
on peut lire le dimanche indo-européen
CHAQUE JOUR de la semaine.
(Mais de toute façon,
avec le dimanche indo-européen,
c’est TOUS LES JOURS dimanche…)
******************************************

Et pour nous quitter


- aaaaah, je me sens si léger... -,

Si tu vois ma mère, 1952

douce, douce composition de Sidney Bechet,

et joliment (même plus que ça) interprétée ici par le Avalon Jazz Band




******************************************


Vous voulez être sûrs (sûrs, mais vraiment sûrs) de lire chaque article du dimanche indo-européen dès sa parution ? Hein, Hein ? Vous pouvez par exemple...
  • vous abonner par mail, en cliquant ici, en tapant votre adresse email et en cliquant sur “souscrire”. ET EN CONFIRMANT le lien qui vous arrivera par mail dans les 5 secs, et vraisemblablement parmi vos SPAMS (“indésirables”), ou
  • liker la page Facebook du dimanche indo-européen: https://www.facebook.com/indoeuropeen/


******************************************

article suivant : le mécano lançait l'hélice du vieux coucou à la paluche